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Les États-Unis, puissance armée reconnue à travers le monde, possèdent plusieurs prisons se situant sur d’autres territoires que le leur. Un des centres de détention les plus connu, le camp de Guantanamo, se situe en Cuba, sur la base navale américaine de la baie de Guantanamo. Récemment, le public a reçu des nouvelles sur une autre prison moins connue, celle de Abu Ghraib en Irak. Lorsque des documents choquant sont sorti en lien avec cette prison, un scandale est survenu et la réalisation du documentaire « Standard Operating Procedure »  par Errol Morris s’est produite.

Les premières scènes du documentaire nous montre la prison et nous explique son fonctionnement. On sait dès le début que la plupart des prisonniers ne méritaient pas leur condamnation. La majorité des soldats américains interviewés ont été témoin de plusieurs actes criminels qui n’auraient jamais dû se produire.

Je suis convaincu que l’objectif principal du réalisateur de ce documentaire était de comprendre pourquoi ces gestes ont été commis et de donner la chance aux soldats impliqués la chance de se défendre. Tout au long du documentaire, c’était évident que les soldats ont été influencés par leurs supérieures et qu’ils regrettent les décisions qu’ils ont pris maintenant.

Les scènes qui m’ont affecté le plus étaient celle de la pyramide humaine, qui consistait d’hommes nus, et celle du corps de l’homme mort qui décomposait dans la salle de bain. Ces photos sont humiliantes pour les soldats irakiens qui ont l’air terrifiés.

Du côté artistique, les effets spéciaux, bien placés et bien exécutés, donnent une allure plutôt vraisemblable à l’histoire racontée par les témoins. Certaines parties du documentaire par contre m’ont déplus. Selon moi, les photos prises des lettres écrites par un des soldats étaient inutiles.

En gros, j'ai bien aimé visionner le documentaire. Selon moi, ce dernier a joué un rôle très important pour changer l'opinion des du peuple américain sur la guerre en Irak.

Pendant plusieurs semaines, les australiens ont été encouragés par des experts, à manger des chameaux pour aider leur écosystèmes.

Après une recherche qui a duré près de trois ans, de nombreux spécialistes faisant parti du Desert Knowledge Cooperative Research Centre ont concluent que le problème de surpopulation des chameaux en Australie peut être rectifié en mangeant l’animal qui endommage les écosystèmes désertiques et les sources d’eau.

Les spécialistes ont servi du chameau comme plat principal au repas qu’ils ont organisés pour les hommes politiques de la Canberra. Le professeur Murray McGregor, qui a participé dans la recherche a encouragé les gens à consommer du chameau : « Eat a camel today, I've done it! ». Il assure la population que le chameau est un repas très satisfaisant et, en plus, est bon pour la santé.

En plus d’être encourager à manger les chameaux, la population australienne devrait aussi manger les kangourous. L’emblème du pays produit beaucoup plus de méthane que certains autres animaux de fermes dont la vache et le mouton.

Au cours des dernières années, le gouvernement de l’Australie a remarqué une croissance incroyable de taux de chameaux dans le pays. La hausse du nombre de chameaux a causé une concurrence entre d’autres espèces d’animaux. De plus, les animaux détruisent des habitats et propagent même des maladies.

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Le Citarum, un fleuve de l'ouest de l'île de Java en Indonésie, est une des rivières les plus polluées au monde. Cette rivière, aussi nommée « la rivière de l’indigo », recevra, cette année, un nettoiement qui améliora les conditions de vie de la population selon la Banque asiatique de développement.

La Banque asiatique de développement a décidé de prêter 500 millions de dollar pour appuyer le gouvernement avec le nettoiement de la rivière situé sur l’île de Java. Le prêt, qui se donnera sur 15 ans, d'un projet de 3,5 milliard de dollar du gouvernement pour l’assainissement de la rivière. En nettoyant la rivière, le gouvernement espère réformer la vie des personnes vivant autour de la rivière.

Christopher Morris, employé de la Banque asiatique de développement, a déclaré que le niveau de pollution de la rivière a compromis la santé des gens. De plus, il a affirmé que les familles qui dépendent sur la pêche, ont été très déçu par le niveau très bas de poissons vivant dans la rivière.

Tout au long de la rivière sont alignées plusieurs compagnies industrielles. Cependant, seulement 20% de ces compagnies traitent leur eau avant de la jeté dans le fleuve. Aussi, selon un sondage fait par le gouvernement, seulement 60% des maisons dans les alentours du fleuve possèdent une salle de bain.

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PROTOCOLE DE KYOTO

Le Protocole de Kyoto existe depuis le 14 juin 1992. Le protocole propose une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ces gaz sont considérés comme la principale cause du réchauffement climatique et pourront avoir des conséquences nuisibles sur la vie sur Terre.

Aujourd’hui, le protocole de Kyoto est approuvé par 172 pays autour du monde. Les pays industrialisés, comme la Chine, devront réduire leurs émissions de gaz de 5% de moins que le taux de l’année 1990 d’ici les années 2008-2012. Chaque pays a son propre but. Par exemple, les pays de l’Union européenne devront réduire leurs émissions de 8%. Par contre, certains pays avec des taux d’émission très bas pourront les augmenter.

Les gaz les plus visés par les pays sont le dioxyde de carbone (CO₂), le méthane (CH₄), les hydrofluorocarbures (HFC), l’hydrocarbure perfluoré (PFC) et l’hexafluorure de soufre (SF₆).

Pour être considérer comme un contrat légal et pour entrer en vigueur le 16 février 2005, le Protocole de Kyoto devait faire face à deux condition majeurs : il devait être signé par au moins 55 pays et il devait être signé par tous les pays qui étaient la cause de 55% des émissions des gaz à effet de serre. Parmi ces pays, 38 pays industrialisés ont signé, dont la Turquie et le Kazakhstan.

Le premier but a été atteint en 2002. Cependant, après la décision prise par les États-Unis et l’Australie de ne pas participer, la décision de la Russie a été considéré comme cruciale. La Russie a finalement décidé de ratifié le protocole, car elle pourra se faire des profits en vendant l’utilisation des émissions de gaz aux pays qui ont l'autorisation  d'augmenter leurs niveaux d’émissions.

Les États-Unis, responsable pour un quart des émissions planétaires, ont décidé de ne pas appuyer le protocole en 2001 lorsque le président George W. Bush a déclaré que cela serait trop néfaste pour l’économie américaine. M. Bush dit qu’il appui la réduction des gaz mais cela doit se faire avec l’arrivée de nouvelles technologies.

Plusieurs experts dans le domaine de l’environnement disent que le Protocole de Kyoto est un bon début. Cependant, en ratifiant le protocole, le problème du réchauffement planétaire est loin d’être rectifié. Pour le rectifié complètement, la population mondiale devrait réduire leurs émissions de gaz d’au moins 60%. Ce but est dit impossible sans l’appui des États-Unis. Même avec cette affirmation, le Protocole de Kyoto existera encore dans les 172 pays qui ont signé le contrat.

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Une conférence menée par l’ONU sur la conservation des espèces en voie d’extinction à décider d’ajouter vingt et unes autres espèces sur la liste de protection des animaux. Ces animaux dont le guépard, trois familles de dauphins et un vautour égyptien sont des espèces moins connues mais plutôt importantes.

Même si l’année 2009 fut baptisé « année du gorille » et le but était de protéger plus de 6000 espèces, cette année, plus de vingt espèces ont été ajoutées à la liste et profiteront de la protection absolue de l’ONU. La liste et dite liste I puisque les animaux placées sur celle-ci ont priorité. Cette liste est composée de plusieurs espèces d’oiseaux cette année.

Plusieurs familles de requins, dont deux familles vivant dans la Méditerranée qui ont vues leurs populations décroître de plus de 96% au cours des dernières années, ont été placées sur la liste II.

Les membres assistant à la conférence ont aussi rédigé une liste de résolutions. Les membres souhaitent réduire la pollution sonore dans les océans. Cette pollution, provoquée par les navires, perturbe la vie des mammifères vivants dans l’eau comme les dauphins et les baleines.

Cependant, selon la Société pour la Conservation des baleines et des dauphins, les mesures que l’ONU espère adoptés ne sont pas assez efficace. «Il est déconcertant de constater que le budget total de la Convention sera de moins de 7 millions d'euros et que les projets de conservation disposeront pour les trois ans à venir de moins de 170 000 euros» a déploré Nicolas Entrupp, le porte-parole de la société.

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Loblaws et Sobeys, les deux plus grandes chaînes d’alimentation du Canada, ont informé le public qu’ils exigeront une somme d’argent pour l’utilisation pour chaque sac en plastique. Ses petites mesures prises par des magasins aideront l’environnement dans le futur.

Dès le mois d’avril, Loblaw ne donnera plus gratuitement les sacs en plastique. Ils seront disponibles sur demande seulement et couteront cinq cents chacun. De plus, Sobeys, magasin moins connu au Québec, demandera aussi cinq cents par sac, mais seulement dans la province de Toronto. Cette nouvelle règle pour le magasin Sobeys sera appliquée dès le 1^er juin.

Selon le président exécutif de Loblaw, Galen Weston, les consommateurs se sont bien adaptés au changement et ils ne prévoient pas perdre des clients. Cependant, certains d’entre eux étaient frustrés après avoir oublié leurs sacs réutilisables à la maison. « Le programme de Loblaw proposera des moyens pour aider les consommateurs à ne pas oublier leurs sacs » a assuré M. Weston.

Il utilisera comme exemple la chaîne alimentaire Sainsbury, en Grande-Britannique qui envoie à ses clients des messages textuels pour éviter les oublis.

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Les organisateurs d’une opération ont réintroduit quatre groupes de castors dans la Grande-Bretagne, pays dont ils se sont absentés de plus de 400 ans. Les castors proviennent de la Norvège et sont arrivés à Londres par avion le jeudi 20 novembre.

Les castors norvégiens ont été capturés et transportés à Londres où ils passeront six mois en quarantaine. Suite à ces six mois, les animaux seront relâchés dans la nature au sud-ouest de l’Écosse au début de printemps 2009. Un des administrateurs du projet nous dit que «les castors étaient endémiques en Grande-Bretagne mais ont été tellement chassés que l'espèce s'est éteinte il y a plus de 400 ans».

Les quatre familles de castors qui ont été utilisé pour ce projet ont été capturé par des spécialistes qui ont étudié les habitudes de l'animal. Les failles de castors sont composés chacun d'un mâle, d'une femelle et de plusieurs petits n'accédant pas le nombre de trois. «Notre équipe en Norvège a passé beaucoupe de temps sur plusieurs sites pour identifier des familles entières et s'assurer qu'elle ne laissait aucun membre de la famille derrière», a expliqué M. Valentine, un responsable de la société zoologique.

Avant d'avoir l'autorisation du gouvernement, les experts doivent observer attentivement la réintroduction des castors dans l'écosystème anglais et leur comportement. Selon un sondage fait par les autorités, 73% des habitants de la région sont contre cette expérimentation.

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L’organisation To Write Love On Her Arms a commencé avec une histoire écrite en février 2005. Cette histoire, écrite par le fondateur, décrit cinq journées qu’il a vécu avec une amie qui a été refusée de plusieurs centres de désintoxication. Pour payé la réhabilitation de son amie, il a fait imprimé des T-shirts avec les mots To Write Love On Her Arms. Aujourd’hui, cette organisation aide des milliers de jeunes à travers le monde avec leurs problèmes de dépression, d’addiction et d’automutilation.

À travers son récit, Jamie Tworkowski, fondateur de l’organisme, nous fait comprendre la triste histoire de Renée Yohe, une amie proche qui faisait recours à la cocaïne et qui s’automutilait. L’histoire est datée cinq journées avant son entrée dans un centre de désintoxication. Durant ces cinq journée, ses amis ont prit soin d’elle. Chaque soir, ils priaient avec elle: We become her hospital and the possibility of healing fills our living room with life. It is unspoken and there are only a few of us, but we will be her church, the body of Christ coming alive to meet her needs, to write love on her arms.

Après ces cinq journées, le groupe d’amis se sont mis à vendre des T-shirts avec le slogan To Write Love On Her Arms. L’argent ramassé par la vente de ces t-shirts était consacré à la réhabilitation de Renée. Renée est présentement complètement dégrisé et elle étudie en Floride.

Suite au succès impressionnant de leur page MySpace, l’organisation à pris de l’ampleur et reçoit aujourd’hui des lettres de jeunes provenant de chaque état au États-Unis, du Canada, de l’Australie et du Royaume-Uni.

Le jeudi 13 novembre, un utilisateur concerné du site Facebook a decidé de s'impliqué. Il a encouragé les gens à écrire le mot Love sur leur bras pour les jeunes qui s’automutile et qui pensent que le suicide est leur seule option. Cette personne a eu l’appui de près de 500 000 gens sur le site de Facebook et ces gens ont même affiché plus de 4000 photos prises pour l’événement.

Présentement, selon les statistiques sur le site de l’organisme, 121 millions de personnes souffrent d’une dépression et 2/3 de ces gens ne demanderont jamais de l’aide.

La prochaine fois que vous verez le mot Love inscrit sur les bras des gens serait le 3 décembre 2008. Encore une fois, le membre de Facebook responsable pour l'événement encourage les gens à  participer et à appuyer les jeunes troublés.

L’organisme vous conseille de parler de vos problèmes avec quelqu’un. Vous pouvez toujours les contacter sur leur site web. Cependant, si votre problème s’agit d’une urgence, appelez le 1-800-SUICIDE pour recevoir l’aide de professionnels.

TO WRITE LOVE ON HER ARMS : http://www.twloha.com/

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Selon les travaux de certains chercheurs américains, les changements climatiques les plus bouleversants se sont produits au cours des dernières décennies.

Au cours des cinq dernières décennies, les écologistes ont remarqué que la fonte des glaces en Arctique constamment précipité le débordement d’eau froide et légèrement saline de l’océean Arctique dans le nord de l’Atlantique.

« Le réchauffement que nous observons est sans précédent dans l'histoire humaine», accentue Charles Greene, océanographe de l'Université Cornell (New York). Il est aussi principal auteur de l’étude parue dans le journal anglais Ecology. «Quand l'Arctique se refroidit et que la banquise et les glaces s'étendent, la réflexion des rayons du soleil sur la glace s'accroît», explique Charles Greene. «Et quand davantage de rayons solaires sont réfléchis qu'absorbés par l'eau, cela conduit à un refroidissement général», ajoute-t-il.

Selon d’autres scientifiques comme M. Greene, si les changements remarqués se poursuivent dans la région de l’Arctique, les changements pourraient aussi engendrer dans les eaux à travers le monde. Ces changements apporteront aussi des conséquences importantes sur le climat planétaire et l’atmosphère.

Ces conséquences ont été remarquées en Caroline du sud (États-Unis) lorsque plusieurs espèces animales et végétales ont été obligées de ce déplacé. Les chercheurs sont en train d’analyser les données climatiques à partir de couches de terre sédimentaires portant sur les 65 derniers millions d'années.

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Marie-Monique Robin, journaliste originaire de la France, a réalisé plusieurs documentaires dont Voleurs d’yeux, qui parle de son enquête sur le trafic d’organes, et Escadrons de la mort, l'école française, qui a gagné le prix du « meilleur documentaire politique » attribué par le Sénat Français. En 2008 Marie-Monique Robin a réalisé Le Monde selon Monsanto, documentaire au sujet de la compagnie d’agriculture américaine Monsanto qui traite des organismes génétiquement modifiés produit par cette compagnie.

La première partie de ce documentaire nous présente la compagnie d’agriculture Monsanto. Cette compagnie américaine a été fondée en 1901 par John F. Queeny. Aujourd’hui, la compagnie nous dit qu’elle est relativement nouvelle et que son but est d’aider les fermes d’agricultures indépendantes à travers le monde. Cependant, les recherches de Marie-Monique Robin prouvent que la compagnie a déçu le public, les consommateurs et les petites fermes qu’elle prétende aider.

Premièrement, Mme Robin nous présent le produit Roundup. Elle se rend en Alabama où elle rencontre le président de la communauté contre la pollution qui confirme que l’État savait que Monsanto contaminait les terrains de la communauté, mais elle n’a jamais informé les habitants.

Elle nous explique aussi que plusieurs fermes ont fait faillite à cause de Monsanto. La compagnie voulait contrôler tous les semences. Ensuite, elle fait un voyage en Inde. Les images qu’elle voit sont horribles. Les habitants lui expliquent que plusieurs familles sont endettées après avoir achetés les semences contrôlés par Monsanto. À cause de leurs situations financières, certains jeunes hommes se sont suicidés.

La situation n’est pas mieux au sud. La contamination transgénique se propage au maïs local des mexicains. De plus, Au Paraguay et au Brésil la communauté remarque que le Roundup cause des maladies et la mort et il y a de plus en plus de perte d’animaux.

Tout au long du documentaire, Mme Robin nous explique le fonctionnement des produits à l’aide de plusieurs schémas. Aussi, les termes d’agricultures complexes qui sont utilisés sont ensuite expliqués clairement par plusieurs experts dans le domaine de l’agriculture, de l’environnement et de chimie.

Les informations qu’elle nous révèle à propos de Monsanto sont choquantes. Le fait que Monsanto était au courant de leur problème de pollution et n’a jamais informé la population est impardonnable.

Tu ne peux pas t'empêcher d’éprouver un sentiment de tristesse en voyant comment la vie de certaines personnes a été négativement affectée par cette compagnie. Si l'intention de Marie-Monique Robin était de faire en sorte que les consommateurs remettent en jeu la confiance qu'ils ont en Monsanto, elle l'a bien accompli en créant ce merveilleux documentaire.

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